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LES MOBILITÉS DOUCES

A la base, la mobilité douce désigne un déplacement dont le moyen de locomotion a uniquement recours à la force musculaire tels que la marche à pied ou encore le vélo. Nous l’avons élargi à tous les modes de transports respectueux de l’environnement tel que les trottinettes électriques, les voitures électriques, le covoiturage ou encore les tramways silencieux et les bus roulants au gaz naturel

2000

Invention du terme de mobilité douce (appelé aussi mode doux)

L'OBJECTIF DE CES MODES DOUX

Promouvoir les déplacements qui ne causent pas d’émissions de dioxyde

Une manière de se déplacer sans polluer et sans gaz à effet de serre, à une vitesse plus lente que les véhicules motorisés

 

De manière générale on parle de mobilité durable pour englober l’ensemble des problématiques liées à la volonté de réduire les conséquences néfastes comme l’empreinte carbone* mais aussi l’empreinte écologique* induites par les transports.

L'empreinte carbone

Selon le Global footprint Network le terme est utilisé pour définit la quantité de carbone (en tonnes) émise par une activité ou une organisation.

L’empreinte écologique

C’est un outil de mesure de la pression qu’exerce l’homme sur la nature, en mesurant la surface productive nécessaire à la population pour sa consommation de ressources et l’absorption des déchets qu’elle produit. Elle permet de contrôler si l’économie humaine, qui puise dans les ressources naturelles, respecte ou non la capacité de régénération de la planète.

DES VILLES EXEMPLAIRES

POURQUOI
LES MOBILITÉS DOUCES

A la suite des rapports du GIEC, le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, les villes ont plus que jamais besoin d’être durable pour tenter de respecter la limitation globale du réchauffement climatique à 1,5° en 2018.

Comme principal pilier de durabilité nous retrouvons la mobilité douce -> alternative aux transports carbonés

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STRASBOURG, LA NOUVELLE AMSTERDAM

La 4ème édition de l’index Copenhagenize classe Strasbourg comme la 1ère ville « vélo-friendly » de France. Un « plan piéton » mis en place depuis 2011 encadre l’aménagement des espaces piétons, d’urbanisme et de voierie avec comme objectif de consacrer 50% de l’espace public aux piétons et cyclistes. Le but est également de réduire la vitesse en ville à 30km/h. En 2017, selon l’INSEE, 16% d’actifs se rendent au travail en vélo ce qui est très positif car la moyenne nationale est de 2%, de plus, un déplacement sur 3 se fait à pied à Strasbourg.

COPENHAGUE, CHAMPIONNE DES TRANSPORTS DOUX

En 2016, la ville a vu le nombre de vélo présents sur les routes dépasser le nombre de voitures. Dans la ville il est possible de prendre son vélo à la fois dans les trains, le métro et les taxis sont également équipés de portes vélos. Les pistes cyclables quadrillant la ville disposent d’un système de signalisation très développé prenant par exemple, en compte la vitesse moyenne de déplacement à vélo. Copenhague avec ses 50% de trajets journaliers effectués en vélo est l’ambassadeur d’un modèle de mobilité qui répond aux défis urbains modernes.

LYON, INNOVATEUR DE SOLUTIONS « SMART » SUR LA MOBILITE DOUCE 

En 2005, la ville est l’initiateur du service de vélos en libre-service, le Vélo’v qui est aujourd’hui bien ancré dans les pratiques de mobilités des Lyonnais. La mobilité connectée est au cœur des enjeux de la ville et c’est pourquoi le service de mobilité urbaine travaille sur le traitement de l’information multimodale, à travers des transports connectés afin d’offrir des alternatives de mobilités aux citoyens. Par exemple, la mairie de Lyon a fait le pari d’aménager un « tube modes doux » dans le tunnel de la Croix-Rousse, dédié exclusivement aux déplacements sans moteur. Ce tunnel propose aux piétons, vélos et bus qui l’empruntent un dispositif inédit d’animation son et lumière pour un parcours pédagogique et écologique.

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